Le français pour l'avenir est heureux de dévoiler aujourd'hui les gagnants du Concours national de rédaction 2021. En tout, 431 adolescents de la 10e à la 12e année de partout au Canada ont soumis des textes dans le but de remporter une de nos 96 bourses pour étudier en français au postsecondaire.
Nos juges ont lu les soumissions avec beaucoup de plaisir et ont apprécié la qualité des textes proposés. Malgré tout ils ont dû sélectionner les meilleurs et 96 auteurs ont été déclarés gagnants.
Le français pour l'avenir tient à féliciter et à souligner les efforts fournis par tous les participants du Concours national de rédaction 2021. Les rédactions reçues représentent de nombreuses heures de travail et de réflexion de la part des jeunes, autour de la question suivante:
« Dans un futur où tout est possible, comment imagines-tu que notre alimentation aura changé? »
Le français pour l'avenir a voulu faire en sorte que les jeunes s’interrogent sur la manière dont nous consommons la nourriture et l’influence de la société sur notre alimentation. Les possibilités de réponses étaient nombreuses : de l’impact du réchauffement climatique, aux effets de modes dans l’alimentation, certains adolescents étaient davantage dans l’analyse d’un problème perçu tandis que d’autres ont choisi d’adopter un angle moins pragmatique.
La liste des gagnants de toutes les provinces et territoires est disponible sur notre site Web. Cette année, un total de 96 jeunes se partageront un cachet de 368 000 $ de bourses d'études offertes gracieusement par les 14 collèges et universités partenaires du Français pour l'avenir : Université d'Ottawa, Campus Glendon université de York, Université Sainte-Anne, Université de Montréal, Université de Moncton, Université de l'Ontario français, Université de Saint-Boniface, UBC, Campus Saint-Jean Université de l'Alberta, SFU, Collège Boréal, Université de Lethbridge, La cité universitaire francophone Université de Régina, Collège de l'Île.
Le français pour l'avenir aimerait remercier tous ses partenaires, sans qui le Concours national de rédaction ne pourrait pas avoir lieu.